Équipe de France

Équipe de France A - France-Portugal 0-0

Samedi 24 octobre 1981 à 15h00

Le Mans (Stade municipal)

Amical

France - Portugal : 0-0 (0-0)

Spectateurs : 1508

Temps frais - Pelouse bonne

Durée du match 2x40min.

Arbitre : Jean-Louis Rideau (France) assisté de Marcel Boiteau (France) et Jean-Claude Tual (France).

Aucun avertissement

France : 1-Sandrine Colombier, 2-Patricia Mousel, 3-Marie-Noëlle Fourdrignier Warot ©, 11-Fabienne Berthout, 4-Sophie Ryckeboer Charrier, 5-Martine Chapuzet, 6-Corinne Baudette (12-Isabelle Flament 62'), 7-Sylvie Saunier, 8-Florence Rimbault (13-Chantal Prouveur 77'), 9-Michèle Wolf, 10-Sylvie Bailly (14-Elisabeth Loisel 62'), Entr.: Francis-Pierre Coché

Non utilisées : 15-Véronique Roy, 16-Danielle Vatin

Portugal : 1-Alice Maria Pinto Ribeiro, 4-Ana Paula Martins Freitas, 5-Eva Maria Amaral Antunes, 2-Maria Assuncao Azevedo Silva (16-Maria Albertina Pinto Costa 59'), 6-Beatriz Goncalves Macedo 'Tisa', 8-Maria Fátima Azevedo Silva ©, 7-Alfredina Maria Seabra Silva, 11-Ana Paula Castro Lessa, 9-Isabel Maria Simao Pereira Santos, 10-Sílvia Maria Mendes Pinheiro, 3-Maria Assuncao Goncalves Fernandes 'São Tato', Entr.: Helder Pereira

Non utilisées : 12-Maria Eugenia Rodrigues Teixeira 'Gena', 13-Olivia Jesus Faria Luis, 14-Emilia Margarida Abreu Coelho, 15-Maria Cidalia Fernandes Faria

Résumé

Face à une équipe portugaise où le football féminin n'en est qu'à ses balbutiements, la France n'a pas su se déjouer du piège adverse. "Je regrette l'anti-jeu des joueuses portugaises. Le match fut hâché et les Françaises ont montré une certaine naïveté". Les Bleues ont en effet laissé un résultat décevant face au Portugal. Privées de Decoopman et Sidibé, la France n'arriva pas à exprimer son football. La défense française fut même alertée suite à une mésentente (18e), ou une frappe de Pinheiro (25e). La France essaya de se mettre à son évidence. Saunier inquiétait Ribeiro (22e), Rimbault plaça un coup de tête juste à côté du cadre (39e). Les changements après l'heure de jeu n'y furent rien, la France restait bredouille. "Il ne faut pas se laisser abattre et essayer de travailler à la base dans les clubs". Des conclusions qu'il faudra faire fructifier.