Championnat de France de D3 2009-2010 - Groupe C
Championnat de France de D3 2009-2010 - Groupe C - 12e journée - Arras-Saint-Lô 4-2
Dimanche 21 mars 2010 à 14h00
Arras (Stade Pierre Bollé)
Arbitre : Djamel Boufime assisté de Jérémy Poivre et Thierry Minart.
Buts pour Arras : Aude Zakardjian 40', Audrey Tabary 42', Peggy Cacherat 76', Anaïs Boquet 81'
Buts pour Saint-Lô : Nassima Chehih 1', Marine Alexis 2'
Avertissements : Erika Héot 75', Nassima Chehih 78', Marine Havin 89' pour Saint-Lô
Expulsion : Nassima Chehih 78' pour Saint-Lô
Arras : 1-Camille Desforges, 2-Jessica Lernon, 3-Céline Acquaert (14-Marion Makuch 30'), 4-Agathe Boidin, 5-Delphine Crevel, 6-Julie Caillierez ©, 7-Aurélie Piosek-Lauridant, 8-Aude Zakardjian, 9-Peggy Cacherat, 10-Audrey Tabary (13-Virginie Lérique 81'), 11-Jennifer Nicole (12-Anaïs Boquet 56'), Entr.: René DEVIENNE
Saint-Lô : 1-Catherine Grandin, 2-Christelle Datin (12-Marion Rauline 46'), 3-Cindy Héron, 4-Aurélie Vivier, 5-Marine Havin ©, 6-Nassima Chehih, 7-Erika Héot, 8-Lucie Leduey, 9-Marine Alexis, 10-Maud Hurault, 11-Marion Couespel, Entr.: Erika HEOT
0-1 (1') : Chehih
0-2 (2') : Alexis
1-2 (40') : Zakardjian
2-2 (42') : Tabary
3-2 (76') : Cacherat
4-2 (81') : Boquet
Résumé
Contre
toute attente, après trois minutes de jeu, les Saint-Loises menaient 2-0, grâce
à un dégagement de Desforges contré, puis à un cafouillage. Mais contrairement
à la semaine précédente contre Cormelles, les équipières de Crevel eurent une
réaction rapide. Les situations chaudes succédaient aux occasions nettes. Il
fallut pourtant attendre les dernières minutes de la première période pour voir
Cacherat réduire la marque. Dans la foulée, sur un ballon en profondeur, Tabary
armait une frappe tendue et permettait aux Arrageoises d'égaliser. Les Atrébates continuèrent sur le même tempo après la pause. Elles
écartèrent le jeu, usant ainsi leurs adversaires, qui craquaient dans le
dernier quart d'heure, en encaissant un troisième but, oeuvre de l'inévitable Cacherat,
puis en perdant leur capitaine, Chehih, renvoyée aux vestiaires pour quelques
paroles acerbes. À dix minutes du coup de sifflet final, Boquet finissait le
travail.