Championnat de France de D3 2007-2008 - Groupe B
Championnat de France de D3 2007-2008 - Groupe B - 11e journée - Vannes-Poitiers 2-1
Dimanche 17 février 2008 à 15h00
Vannes (Stade de Luscanen)
Arbitre : Vincent Lere assisté de Thierry Garrec et Frédéric Napolitano.
Buts pour Vannes : Sarah Pessel 39', Christèle Pousse 47'
But pour Poitiers : Nadège Raboisson 26'
Aucun avertissement
Vannes : 1-Lisa Oullami, 2-Adélia Arnould, 3-Émilie Jego, 4-Audrey Binard, 5-Marina Philippe, 6-Stéphanie Canevet ©, 7-Stéphanie Hélard, 8-Claire Cabarrou (12-Angélique Gauthier 60'), 9-Sarah Pessel, 10-Marion Nicol (13-Ludivine Dréno 70'), 11-Christèle Pousse, Entr.: Corine RIVIERE
Non utilisées : 14-Annaël Le Discot
Poitiers : 1-Ophélie Demarconnay, 2-Martine Gagnon, 3-Marie-Adeline Thebault, 4-Laëtitia Jamain ©, 5-Manon Demeurant, 6-Carole Rapiteau (12-Laïla Khiar 50'), 7-Calypso Jaladeau, 8-Perrine Moriceau, 9-Nadège Raboisson, 10-Annabelle Faure, 11-Céline Moreau (13-Marine Fy 25'), Entr.: Jérôme BOUFFEY
Non utilisées : 14-Vanessa Teixeira Mendes
0-1 (26') : Raboisson
1-1 (39') : Pessel
2-1 (47') : Pousse
Résumé
La dernière victoire de Vannes remontait au 18 novembre dernier. Autant
dire un bail et la victoire acquise face à Poitiers, au-delà de sa légitimité,
constitue également une très belle opération comptable pour les Vannetaises,
puisque Tours et Blois ont été battus. Vannes recolle ainsi au bon wagon après
avoir dominé sensiblement son adversaire de Poitiers. Au terme d’une période
initiale assez équilibrée, avec un jeu assez confus et parfois brouillon, les
actions furent relativement rares. Ainsi, Nicol, pour les Vannetaises (15e),
échouait à côté, avant que Poitiers ne parvienne à déflorer le score par
Raboisson, qui profitait d’un coup franc de Jaladeau, repoussé par Oullami.
Piquées au vif, les Vannetaises s’enhardirent plus encore et trouvaient dans
les efforts consentis une juste égalisation par Pessel, qui profitait d’un
cafouillage dans la défense sur un centre de Jégo pour ramener les deux équipes
à égalité. En seconde mi-temps, la domination sans partage fut bien celle