Championnat de France de D3 2007-2008 - Groupe C
Championnat de France de D3 2007-2008 - Groupe C - 6e journée - Châtenoy-Besançon 0-0
Dimanche 18 novembre 2007 à 14h30
Châtenoy Le Royal (Stade du Treffort)
Châtenoy - Besançon : 0-0 (0-0)
Arbitre : Cyril Orta assisté de Kévin Auberger et Jean-François Gatefossey.
Avertissement : Laelia Petit 44' pour Besançon
Châtenoy : 1-Stéphanie Bidalot, 2-Léa Paillard-Terreau, 3-Marine Callois, 11-Pauline Durey ©, 4-Julie Fornet, 5-Delphine Gressard, 7-Marie-Pierre Ravet, 8-Gaëlle Moine (13-Marie Ravel-Chapuis 80'), 9-Mélanie Pourprix, 10-Magalie Cleau, 6-Déborah Joly (12-Angélique Babout 60'), Entr.: Yves BLONDEL
Besançon : 1-Amélie Martin, 2-Cécilia Hakkar, 3-Charline Meuterlos, 9-Laelia Petit, 5-Justine Brugnot, 4-Mélanie Barbier, 8-Audrey Chabert, 6-Élodie Thomasson, 10-Priscillia Hakkar © (13-Ophélie Cuynet 89'), 7-Tatiana Solanet, 11-Angélique Bernard (12-Chloé Bertoncini 64'), Entr.: Christophe MARTIN
Résumé
Entreprenantes
et nettement plus fringantes dans le jeu, les Bisontines ont en effet livré une
partie plus que correcte en Bourgogne sans malgré tout parvenir à trouver la
faille dans la défense locale. Les débuts étaient assez tendus entre deux
formations peu décidées à lâcher le moindre centimètre de terrain. Sérieuses,
les Franc-Comtoises se procuraient néanmoins une première belle occasion mais
la frappe de Priscillia Hakkar n’était pas cadrée (7e). Surprises, les joueuses
de Châtenoy se réveillaient quelque peu et obligeaient le BRC à reculer
sensiblement. Un coup-franc dangereux inquiétait même l’arrière-garde doubiste (25e).
Une piqûre de rappel salvatrice pour les joueuses de la capitale franc-comtoise
qui finissaient le premier acte en trombe. Solanet débutait ainsi son festival
sur son côté. A trois reprises, elle était en effet à l’origine de contres
foudroyants.
Le
retour des vestiaires marquait, en tout cas, un net regain de forme de Châtenoy
qui avait également sérieusement musclé son jeu sur le terrain. L’impact
physique prenait largement le pas sur le jeu mais Besançon manquait, tout de
même, de sang-froid sur deux coups de pied arrêtés bien placés. Une nouvelle
fois, cette fameuse zone de vérité faisait défaut aux Doubistes qui, la fin de
match approchant, semblaient se contenter de ce score nul et vierge. Il faut
quand même écrire qu’à quelques secondes du terme, Châtenoy avait frôlé la
victoire sur une frappe sur le poteau (88e).