Championnat de France de D2 2010-2011 - Groupe C
Championnat de France de D2 2010-2011 - Groupe C - 17e journée - La Véore-Muret 0-0
Dimanche 20 mars 2011 à 15h00
Etoile-sur-Rhône (Stade municipal)
Spectateurs : 100
Arbitre : Frédéric Ferrand assisté de Yann Gautier et Christophe Gruau.
Avertissements : Athénée Roubin 89' pour La Véore, Laura Asensio 30' pour Muret
La Véore : 1-Lauriane Jean, 2-Ludivine Ranc, 3-Marianne Buteau, 4-Estelle Lagier, 5-Marie-Laure Brustel, 6-Carine Pagnant Gros, 7-Athénée Roubin, 8-Magalie Jullien (13-Meriem Kabouch 62'), 9-Christelle Soubeyrand, 10-Cécile Coulomb ©, 11-Sonia Da Silva (12-Laura Michel 53'), Entr.: Steve GRIVEAU
Muret : 1-Marine Fromantin, 2-Julie Simon, 3-Pauline Exposito, 4-Laura Asensio, 5-Aïvi Mitchai, 6-Céline Faure, 7-Céline Escoubeyron, 8-Dorine Mamata (13-Carole Fage 53'), 9-Anne Trevisan © (14-Linda Razali 82'), 10-Audrey Monicolle, 11-Fanny Tenret (12-Marion Morda 78'), Entr.: Madjid ALLICHE
Résumé
Muret n’a pas continué dans sa dynamique sur le terrain de La Véore. Certes, le terrain n'a pas aidé, et les conditions globales non plus. Les premières minutes donnaient le ton de ce qu'allait être le match, c'est à dire une rencontre de plutôt bonne qualité qui aurait tout gagné à être disputé sur une pelouse digne de ce nom. Les débats penchaient naturellement en faveur des joueuses de Muret, qui ne parvenaient toute fois pas à se procurer d'occasions dangereuses (3e, 7e, 9e), la seule frappe cadrée étant pour Tenret (32e). Les Etoiliennes n'étaient pas en reste en première mi-temps et s'offraient quelques beaux débordements eux aussi stériles. Le jeu se hachait un peu plus à la demi-heure de jeu, et les tacles de plus en plus durs laissaient des traces morales et physiques. Au retour des vestiaires néanmoins, les visiteuses passaient la vitesse supérieure afin de faire sauter le verrou local. Les frappes de loin se multipliaient, tout comme les contres drômois. A la 54e minute, Escoubeyron obtenait un corner sur lequel Trévisan obligeait la gardienne à un plongeon. Les deux camps ne se faisaient pas de cadeaux, et c'est malheureusement naturellement que les blessures suivaient (Tenret puis Trévisan), fortement aidées par un terrain décidément très mauvais pour les jambes. Malgré quelques tentatives de coaching de part et d'autre, les deux équipes se séparaient finalement sur un score de parité.
Geoffrey Pedrajas