Championnat de France de D3 2008-2009 - Groupe D
Championnat de France de D3 2008-2009 - Groupe D - 10e journée - Soyaux B-Poitiers 3-1
Dimanche 08 février 2009 à 15h00
Soyaux (Stade Léo Lagrange)
Soyaux B - Poitiers : 3-1 (1-1)
Arbitre : Aurélie Fontenaud assisté de Ekoue Kpodar et Frédéric Horslaville (Soyaux).
Buts pour Soyaux B : Justine Deschamps 41', 55', Jessica Marchadié 79'
But pour Poitiers : Vanessa Teixeira Mendes 28'
Aucun avertissement
Soyaux B : 1-Déborah Berthon, 2-Myriam Soweif ©, 3-Mary Miralves, 4-Julie Loubet, 5-Priscilla Bencini, 6-Mélissa Desse, 7-Charlotte Clenet (12-Moenne Loccoz 81'), 8-Clémence Herpin, 9-Emma Laizet Laplagne (13-Céline Taudière 88'), 10-Jessica Marchadié, 11-Justine Deschamps (14-Clarisse Delannoy 65'), Entr.: Christophe MONTEIRO
Poitiers : 1-Claire Tarrieux, 2-Marie-Adeline Thebault, 3-Cindy Lacroix (4-Laëtitia Jamain ©, 5-Noémie Berge, 6-Laïla Khiar, 14-Coralie Reneteau (13-Calypso Jaladeau 68'), 8-Vanessa Teixeira Mendes, 9-Nadège Raboisson, 10-Annabelle Faure, 11-Anne Barnaba, Entr.: Mustapha DAFROUALLAH
0-1 (28') : Teixeira Mendes
1-1 (41') : Deschamps
2-1 (55') : Deschamps
3-1 (79') : Marchadié
Résumé
Dès
l’entame de la partie, les Charentaises prenaient le jeu à leur compte. Soyaux attaquait
sans que Poitiers ne puisse réellement riposter dangereusement. Pourtant, les
Poitevines sortaient bien de leur camp grâce à un bon ballon envoyé en
direction de Reneteau. Elle servait magistralement Teixeira Mendes qui lobait
astucieusement la gardienne. Soyaux était sonné par ce but qui arrivait en
pleine domination. Ce coup de massue n’allait pas durer longtemps et Deschamps
égalisait.
En seconde période, Soyaux était décidé à ne pas se faire surprendre et mettait
la pression sur la défense de Poitiers. Deschamps trouvait vite le chemin des
filets. Puis peu de temps après, après une charge sur la gardienne poitevine, l’arbitre
invalidait le 3e but. Faure avait la balle d’égalisation sur coup franc mais
trouvait la barre. Soyaux se voyait de nouveau refuser un but mais cela n’allait
rien changer car Marchadie d’une frappe lointaine finissait le travail.