Championnat de France de D2 2012-2013 - Groupe A
Championnat de France de D2 2012-2013 - Groupe A - 4e journée - Dijon-Rouen 0-2
Dimanche 07 octobre 2012 à 15h00
Dijon (Stade des Poussots)
Arbitre : Mickaël Baudot assisté de Carlos Ramoa et Steve Teixeira.
Buts pour Rouen : Naïma Talani 10', 32'
Avertissements : Nassima Chehih 36', Fanny Gosseye 70', Audrey Lecoq 84' pour Rouen
Dijon : 1-Alexandra Correia, 2-Charlotte Ciupa (13-Cécilia Hakkar 64'), 3-Aline Vernevaut, 4-Anaïs Brahier, 5-Justine Pacaud, 6-Fanny Quetand ©, 7-Christelle Samie, 8-Aurore Rabut, 9-Lindsey Derré (12-Pauline Desbourdieux 64'), 10-Ophélie Cuynet, 11-Priscillia Hakkar (15-Céline Brocard 78'), Entr.: Jean-Pierre Lapret
Non utilisées : 14-Charlène Coeur
Rouen : 1-Marie Lefebvre, 2-Marine Fouchard, 3-Fanny Gosseye, 4-Audrey Lecoq, 5-Kheira Bendiaf, 6-Floriane Rouy (13-Maude Perchey 73'), 7-Erika Héot, 8-Lucie Barbet ©, 9-Naïma Talani (12-Marine Allez 58'), 10-Nassima Chehih (14-Émilie Deparrois 73'), 11-Yvonne Leuko Chibosso, Entr.: Stéphane Arnold
0-1 (10') : Talani
0-2 (32') : Talani
Résumé
Face à une équipe rouennaise bien organisée défensivement et opportuniste, les Dijonnaises concèdent une nouvelle défaite. Maladroites en attaque et manquant de rigueur défensive, elles s’inclinent sur deux contres rondement menés (0-2). D’entrée, le DFCO s’empare de la possession du ballon sans parvenir à se montrer réellement dangereux. Et sur sa première véritable occasion, Chehih ouvre pour Talani, à la limite du hors-jeu, qui file tromper Correra (0-1, 10'). Les coéquipières de Quétand continuent de monopoliser le ballon mais se montrent trop approximatives pour menacer la vigilance de Lefebvre (12e, 16e, 22e, 25e). Et sur un nouveau contre amorcé par Chehih, Talani s’en va une nouvelle fois transformer l’offrande (0-2, 32') et permet à son équipe de regagner les vestiaires avec une avance confortable. A la reprise, les Côte-d’Oriennes ne parviennent toujours pas à enflammer la surface de vérité. Et face à des visiteuses repliées en défense, les Dijonnaises s’essaient aux tirs lointains (66e, 70e, 77e). Rouen, quant à lui, ne procède plus que par des contres sporadiques mais incisifs. Ainsi, les Normandes manquent de peu en fin de partie, d’aggraver encore un peu plus la marque (86e, 90e, 91e).