Championnat de France de D2 2008-2009 - Groupe B
Championnat de France de D2 2008-2009 - Groupe B - 14e journée - Montigny-Saint-Apollinaire 3-0
Dimanche 01 mars 2009 à 15h00
Montigny-le-Bretonneux (Stade de la Couldre)
Montigny - Saint-Apollinaire : 3-0 (2-0)
Spectateurs : 100
Arbitre : Marc Michout assisté de Philippe Bunel et Antoine Le Philippe.
Buts pour Montigny : Céline Bocquet 19', Charlotte Peslerbe 27', Mathilde Duban 86'
Aucun avertissement
Montigny : 1-Méline Gérard, 2-Céline Bocquet (12-Flore Essone 59'), 3-Linda Pannetier, 4-Rachelle Bracchi ©, 5-Marie Dubreucq, 6-Lydie Get, 7-Aude Moreau (13-Fanny Morvan 59'), 8-Élise Bruneau, 9-Charlotte Peslerbe (14-Margot Robinne 69'), 10-Hélène Klein, 11-Mathilde Duban, Entr.: Catherine JARRIAULT
Saint-Apollinaire : 1-Jennifer Gautherot, 2-Stéphanie Douchet, 3-Noémie Goldi, 4-Anaïs Brahier, 5-Aurore Rabut ©, 6-Aline Vernevaut, 7-Cristelle Salabert, 8-Christelle Samie, 9-Sylvie Moutahsine, 10-Priscillia Hakkar, Entr.:
Non utilisées : 11-Delphine Chevaux
1-0 (19') : Bocquet
2-0 (27') : Peslerbe
3-0 (86') : Duban
Résumé
A l'inverse
de Saint-Apollinaire, contraint de débuter le match à dix en raison des
absences et blessures en tout genre, le leader Montigny affichait complet pour
ses retrouvailles avec le championnat. Un avantage numérique, qui, allié à la
supériorité technique et physique des Yvelinoises, a vite fait tourner la
rencontre en un simple jeu d’attaque-défense. Mais ce qui aurait pu se résumer
à une véritable partie de plaisir après le centre-tir victorieux de Bocquet
(1-0, 19') puis la tête de Peslerbe bien servie par Aude Moreau (2-0, 27'),
tourne finalement au médiocre au retour des vestiaires. Bien qu’évoluant à onze
contre neuf après la sortie sur KO de la gardienne de Saint-Apollinaire (43e),
Montigny semble alors pêcher par nonchalance, se contentant bien souvent d’un
jeu stérile fait de longs ballons approximatifs. L’équipe parvient tout de même
en fin de match à donner un peu plus d’ampleur au score grâce à Duban, qui
profite du bon travail côté droit de Essone pour tromper la malheureuse Vernevaut.
Le Parisien